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L'Indé Panda n°9

Titre : L’Indé Panda n°9

 

Auteurs : collectif

 

Editeur : L’Indé Panda

 

Parution : septembre 2019

 

Nombre de pages : 154 pages

 

Genre : mélangé

 

Prix numérique : 0€

 

Lien boutique : ICI

 

Résumé : Trois ans ! Pour ce numéro anniversaire, le comité de lecture de L'Indé Panda vous a concocté un magazine aux plumes savoureuses...
Fanny Crubellier, avec beaucoup de délicatesse, vous parlera de résilience. Puis, grâce à Suzanne Marty, vous basculerez dans un futur pas si lointain, où les sentiments ne tiennent qu'à un chiffre. De frissons en actes courageux et féministes, de messages poignants en romances hors-normes, les spectres de la vie et de la mort vous guettent au fil des pages... Bienvenue dans ce neuvième numéro de L'Indé Panda !

 

 

 

 

 

Mes impressions : J’aime beaucoup lire les indé pandas, car les textes sont toujours de qualité supérieure. Les plumes sont agréables et bien travaillées, et aucune faute ne résiste à l’œil avisé de la correctrice ! Chaque nouvelle a son thème, chaque auteur sa particularité.

 

Une petite note pour chaque, en essayant de ne pas trop en dévoiler.

Résilience (Fanny Crubellier) : Très touchant, émouvant, beau. Et tellement vrai !

Le bon numéro (Suzanne Marty) : Une réflexion tout en couleurs sur notre morne société. Fort bien écrite de surcroît.

Shutdown (Benoît Barker) : Saisissant, horrifique, cauchemardesque, en particulier pour la maman que je suis. Très bien écrite !

Permis de sauver (Adriana Kritter) : Les larmes aux yeux, la gorge nouée !

Les cages (Céline Saint-Charle) : horrible… et pourtant criant de vérité ! Si seulement…

Il était 5h (Noémie Delpra) : une réflexion sur les conséquences de nos actes, et le harcèlement.

Par amour (Jo Frehel): Que ne ferait-on par amour ?

Comme un crabe (Florence Dalbes Gleyzes ) : Cette histoire m’a rappelé La Métamorphose de Kafka. Psychologie ou sorcellerie ?

Qui allez-vous appeler ? (Mélanie De Coster) : un émouvant clin d’œil à un chef d’œuvre adoré de mon enfance.

Ma première gare mondiale (Jean-Marc Bassetti) : Souvenir d’un temps qu’on doit se remémorer.
Petite résurrection en forme de sourire banane (Bertrand Peillard) : un peu longue mais prenante. Une autre forme de résilience, tel le boxeur qui se relève avec un combat, ou le dormeur qui ouvre enfin les yeux.

 

Remerciement : Je remercie une fois encore le comité de l’Indé Panda pour m’avoir invité à traiter ce SP.

 

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